Selon la Commission nationale sur le sida, depuis 2015, la population du Belize taux de nouvelles infections au VIH est de 6,7%. Environ 1,8 % de la population du Belize population a contracté le VIH. Le Belize est l’un des pays les plus touchés de la région d’Amérique centrale.
Le premier cas et comment il se propage
En 1986, des professionnels de la santé ont diagnostiqué le premier cas de VIH/SIDA au Belize et, par la suite, le VIH s’est répandu dans la communauté au sens large. La transmission du virus est accélérée par la pauvreté, l’utilisation inadéquate des préservatifs et les croyances culturelles qui encouragent les hommes à s’engager dans de nombreuses relations sexuelles. Selon le Premier ministre du Belize, les jeunes issus de familles pauvres et migrantes sont les plus vulnérables au risque de contracter et de propager le VIH/SIDA au Belize. Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA affirme que 2 400 adultes (prévalence de 2,01 %) vivaient avec le VIH/SIDA en 1999.
Défis
Selon le gouvernement du Belize, le pays est confronté à de multiples défis dans la mise en œuvre des programmes de lutte contre le VIH/SIDA. programmes de prévention et de soins. Ces défis sont l’épidémie hétérosexuelle croissante, l’augmentation des taux de transmission mère-enfant (TME), l’inégalité entre les sexes qui rend difficile pour les femmes de négocier l’utilisation de préservatifs et les idées fausses/stigmatisations sur la façon dont le VIH/SIDA se propage.
Implication de l’USAID
L’Agence américaine pour le développement international (USAID) soutient le VIH/SIDA au Belize même si elle n’y est pas présente. Le pays du Belize fait partie du programme régional d’Amérique centrale sur le VIH/SIDA de l’USAID. Au cours de l’exercice 2001, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a alloué 3,7 millions de dollars. Le programme renforce les capacités des organisations d’Amérique centrale à fournir des services de prévention et de soins du VIH/SIDA à des publics cibles. Il met en œuvre un préservatif stratégie de marketing social parmi les groupes à haut risque d’infection par le VIH.
Réponse nationale du NAC Belize
L’objectif de la Commission nationale sur le sida du Belize est de fournir des informations actualisées sur le VIH dans le cadre de la riposte au VIH. Ils veulent atteindre l’objectif national de mettre fin à l’épidémie d’ici 2030. Les statistiques nationales indiquent que le plan stratégique du Belize contre le VIH répond à ces évolutions dans la riposte en appelant à davantage de recherche, à un ciblage accru et à un changement de comportement, éducation à la communication et la coordination des programmes et des services en tant qu’initiatives visant à réduire la propagation et l’impact du VIH et du SIDA grâce à des systèmes durables permettant un meilleur accès à la prévention, au traitement, aux soins et au soutien du VIH.
Mesures de prévention
Combinaison La prévention est une approche programme qui est censé réduire la transmission du VIH en appliquant une combinaison d’interventions comportementales, biologiques et structurelles. Les approches combinées contribuent à garantir que les personnes peuvent accéder aux interventions qui répondent à leurs besoins à différents moments. Il existe également des preuves selon lesquelles les personnes qui suivent un traitement anti-VIH efficace et qui le suivent correctement sont moins susceptibles de transmettre le VIH à d’autres. Le TAR (thérapie antirétrovirale) au niveau individuel réduit la charge virale et la contagiosité, ce qui en fait un méthode de prévention.
La communication de masse aide
Reconnaissant l’importance de la communication de masse pour la prévention, le ministère de la Santé (MOH) met en œuvre plusieurs mesures publiques initiatives éducatives tout au long de l’année, en particulier lors des activités de la Semaine mondiale de lutte contre le SIDA, telles que la campagne « Faites-vous tester aujourd’hui ». Les médias informent et éduquent le grand public sur la PTME. L’une des principales organisations de la société civile utilisant les médias est le PASMO. Un autre exemple est la BFLA, qui utilise les médias pour promouvoir les services de SSR et l’utilisation du préservatif. Un autre exemple est la Croix-Rouge du Belize, qui utilise des panneaux publicitaires pour sensibiliser le public à travers la campagne « Faces ». Actuellement, la subvention du Fonds mondial(GFATM)-Round 9 accordée au Mouvement de la société civile du Belize (BCM) comble une lacune dans la campagne médiatique en ciblant les jeunes avec une campagne de « communication pour le changement de comportement » qui se concentre sur le retardement de l’activité sexuelle, réduire le nombre de partenaires et promouvoir des pratiques plus sûres chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
Soutien des donateurs/Autre soutien
Il existe également un soutien de la part des donateurs et d’autres sources pour lutter contre le VIH/SIDA au Belize, comme le soutien fourni par l’ONUSIDA et les National Institutes of Health (NIH). Le NIH finance la recherche sur la prévention du VIH au Belize et dans d’autres pays en développement, notamment études pour évaluer les interventions pour prévenir la transmission mère-enfant (TME). Au cours de l’exercice 1998-99, l’ONUSIDA a fourni 450 millions de dollars pour des programmes nationaux dans la région de l’Amérique centrale et commence à financer des travaux régionaux, notamment l’initiative des populations mobiles soutenue par l’USAID et des réunions et conférences sur le VIH/SIDA.
Conclusion
Le VIH/SIDA au Belize demeure un problème de santé publique crucial, exigeant une attention continue, des ressources et des stratégies pour atténuer son impact. La stigmatisation, l’accès aux soins de santé et les contraintes de financement persistent malgré des progrès significatifs dans les efforts de prévention, de traitement et de sensibilisation.
– AuiCha Conley
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